Ce que le 39° Congrès du PCF veut dire au pays

Avec un peu de retard, mais parce que l’événement n’est pas sans rapport avec la bataille sociale en cours, je veux revenir ici sur quelques enseignements du vote récent des adhérentes et adhérents communistes en vue de leur 39° Congrès, qui se tiendra du 7 au 10 avril prochains, à Marseille. À ce propos, je ne peux m’empêcher de relever, non sans un malin plaisir, certains décontenancements… Des revirements, devrais-je plutôt dire tant ils sont parfois spectaculaires, de la part de commentateurs se voulant avisés mais redécouvrant — après avoir fait mine de l’ignorer — qu’un congrès du Parti communiste français ne se résume jamais à un banal rendez-vous interne… 

Ceux-là avaient manifestement oublié que, de par la place acquise par notre courant dans l’histoire de la France comme des combats pour la République et la dignité du monde du travail, ses débats, quels qu’ils aient été par ailleurs, ont toujours intéressé au-delà de ses rangs. Voici donc balayées, par le résultat sans appel de la consultation interne des 27, 28 et 29 janvier, les rhétoriques qui se faisaient jusque-là une spécialité d’ironiser sur « un parti vieillissant », en proie à un « effondrement militant », prétendument divisé entre « ligne d’ouverture » et « repli identitaire », ce dernier se trouvant prétendument incarné par un secrétaire national aussi coupé de sa base qu’il serait prompt à céder à toutes les « dérives idéologiques ». Et voici des titres qui, de Regards à Mediapart, après s’être paresseusement complu dans un dénigrement systématique, se retrouvent contraints de reconnaître que le PCF s’avère un organisme vivant, sa direction étant parfaitement en phase avec son corps militant.

DÉMONSTRATION DE VITALITÉ DÉMOCRATIQUE

Celles et ceux qui me suivent ici sans être membres du PCF ne l’ignorent plus : en cette fin janvier, sur 42 237 communistes à jour de leurs cotisations, 29 898 ont participé au vote. À une très large majorité de 81,92 % et 23 930 voix, ils se sont prononcés en faveur du document présenté par le conseil national. Le texte qui lui était opposé a, pour sa part, recueilli 5 282 voix et 18,08 %. Dans ma propre fédération, la Haute-Garonne, c’est à 93% que nous nous sommes prononcés en faveur du texte intitulé L’ambition communiste pour de nouveaux Jours heureux.

Ce résultat, je le crois profondément, est un message fort adressé à une gauche confrontée au défi de sa reconstruction, aux forces engagées dans le grand mouvement social du moment contre l’allongement de l’âge du départ à la retraite, au peuple de France qui se trouve en proie aux assauts répétés d’un pouvoir au service exclusif de la finance et qui se voit privé depuis trop d’années d’un horizon d’espoir.

Par le niveau de leur participation, les communistes ont, tout d’abord, manifesté la vitalité démocratique de leur organisation. Cela se fait rare dans la vie politique française, et il faut bien constater, à gauche, que les dissensions les plus récentes traversant diverses organisations n’ont pas offert une image particulièrement attrayante. En se prononçant, avec une pareille force, en faveur de l’orientation proposée par le conseil national — jamais, depuis que les statuts ont décidé d’ouvrir les débats de congrès en proposant aux adhérentes et adhérents de choisir le texte à partir duquel ils souhaitaient travailler et formuler leurs amendements, une « base commune » n’avait recueilli un tel taux d’approbation —, ils ont exprimé leur volonté de poursuivre sur le chemin engagé depuis quatre ans : le renouveau d’un communisme français longtemps sous la menace de l’effacement. 

Alors que tant de nos concitoyennes et de nos concitoyens considèrent souvent la vie publique et les partis comme le champ clos d’affrontements qui ne les concernent guère, notre débat, conduit dans le respect de toutes les opinions et la fraternité, est de nature à faire progresser dans les consciences l’idée qu’il faut s’engager politiquement si l’on veut que bifurque le destin de la France. Comme le disait, ce 29 janvier, mon camarade Fabien Roussel : « Je forme le voeu que notre parti, avec ses militantes et militants, devienne leur maison commune pour construire le changement tant attendu. »

UN CHEMIN DE LUTTES ET DE VICTOIRES

Plus généralement, en effectuant leur choix, les militantes et militants n’ont pas simplement voulu départager les orientations qui leur étaient proposées, ils ont mis dans le débat public une offre politique globale et cohérente. Ils ont, plus précisément, formulé en direction de nos compatriotes la proposition d’une nouvelle voie, de lucidité exigeante, de luttes, de victoires…

La lucidité est, évidemment, la condition de la mise en oeuvre d’une politique efficace. Parce que l’humanité se retrouve à un tournant de son histoire avec des défis écologique et climatique mettant en jeu son devenir même, parce que les convulsions de la globalisation capitaliste engendrent un chaos planétaire et qu’elles font planer le spectre d’une nouvelle conflagration à la possible dimension nucléaire, parce que notre pays affronte dans ce cadre une formidable crise sociale et politique dont l’extrême droite s’emploie à devenir la bénéficiaire en profitant du « plafond de verre » électoral auquel se heurte la gauche — comme on a pu le vérifier à l’occasion du scrutin législatif de l’an passé —, les approximations, les formules ronflantes mais vides de contenu ne sont pas de mise. C’était l’une des arêtes du désaccord  entre les deux documents soumis au vote. 

Avec L’ambition communiste pour de nouveaux Jours heureux, le PCF entend ouvrir une réflexion approfondie : sur les défis qu’il appartient à notre camp, la gauche, et singulièrement aux communistes, de relever s’ils veulent redevenir une force d’alternative véritable ; sur les craquements qui se font entendre jusqu’au coeur d’un capitalisme mondialisé et financiarisé comme jamais ; sur les résistances populaires qui se manifestent un peu partout, à l’image de l’actuel soulèvement français en défense du droit à la retraite tant qu’on est encore en bonne santé ; sur les obstacles qu’il convient de surmonter pour effacer l’héritage des défaites passées…

Pour un parti qui est à la fois une formation de combat et de gouvernement, il s’agit, rien de moins, de se montrer véritablement utile au dégagement d’une perspective de justice sociale, de démocratie et de paix. Si, à cet égard, le projet communiste se révèle, en ce premier quart du XXI° siècle, d’une aussi brûlante actualité, c’est qu’il n’est pas simplement une visée civilisationnelle. Il n’entend pas réduire son action à l’exaltation d’un « communisme déjà là », ce concept qu’évoquait le texte alternatif déposé devant les militantes et militants, en relativisant du même coup le besoin d’un parti posant à la société la question de la conquête du pouvoir détenu par le capital. Je reviendrai sur ce point. Le projet communiste ne trouve sa pleine portée qu’en représentant un chemin de luttes, donc en irriguant tous les aspects de l’action révolutionnaire. 

De l’exigence de la mise en commun face aux dérives désastreuses de la concurrence de tous contre tous, encouragées par le néolibéralisme… De l’appel à l’impératif dépassement des logiques marchandes et financières à l’heure où se développe une exceptionnelle révolution technologique et informationnelle… De la nécessité de porter l’idée d’universalité des droits humains sans laquelle l’internationalisme n’est qu’un vain mot… Du dessein de faire de la démocratie le but et le moyen d’un changement radical… De la visée d’émancipation, individuelle et collective, portée en direction de toutes celles et tous ceux qui aspirent à en finir avec  les dominations qu’ils subissent, avec le souci de leur montrer comment il est possible d’articuler leurs engagements au combat décisif pour libérer la société de la toute-puissance d’un capital qui accapare toutes ses richesses, exploite sans vergogne le travail humain et aliène les vies… Il découle la finalité d’une bataille d’idées et d’une démarche destinées à favoriser une dynamique populaire conquérante.

La bataille d’idées, nous n’avons cessé de la porter, en particulier à l’occasion de la toute récente campagne pour l’élection présidentielle, en mettant par exemple les questions du travail et de l’emploi au centre des confrontations politiques et sociales, en proposant d’éradiquer le chômage par la sécurisation de tous les âges de la vie, en articulant les exigences liées de souveraineté énergétique ou alimentaire de la France à l’objectif d’une réindustrialisation dans le cadre d’un nouveau modèle de développement socialement juste et écologiquement soutenable, en affichant l’objectif d’une nouvelle République poussant jusque dans l’ordre économique  ses principes fondateurs d’égalité et de solidarité, en défendant une vision de la France s’affranchissant des replis identitaires que favorisent les forces dominantes et les droites réactionnaires. 

Quant à la démarche, la présente bataille des retraites en a révélé toute la portée : lorsque nous nous serons engagés dans la confrontation de classe avec l’ambition de contraindre le pouvoir macronien à retirer son projet scélérat, le mouvement populaire ayant besoin de succès pour pouvoir repartir à l’offensive ; lorsque nous aurons travaillé à rétablir des complémentarités entre forces sociales et forces politiques, loin des tentations malheureuses de certains pour les placer en compétition ou pour les soumettre à leur volonté hégémonique ; ou encore lorsque nous aurons cherché à convaincre le plus grand nombre qu’une réforme progressiste pouvait parfaitement se substituer à l’obstination régressive des gouvernants. Chaque avancée en ces directions pose un jalon dans la construction d’une nouvelle majorité politique pour la France.

L’AUTRE CONCEPTION DU RASSEMBLEMENT

À travers tous ces chantiers, l’objectif est en effet de permettre à la gauche de retrouver une dynamique de victoire. On le sait, d’aucuns ont beaucoup ironisé lorsque Fabien Roussel affichait la détermination de refaire de l’affrontement entre capital et travail une dimension centrale du combat pour en finir avec l’injustice de l’ordre dominant. Et pourtant ! Que nous disent d’autre les millions d’hommes et de femmes qui se dressent présentement pour obtenir l’abandon de la contre-réforme des retraites, sinon que les forces du travail sont le moteur du si nécessaire dépassement du capitalisme ? La défense du droit à cesser l’activité en profitant de belles années de vie ne met-elle pas en pleine lumière les questions du sens, du contenu et de l’objectif du travail ? La levée en masse des petites et moyennes villes, de ces territoires qu’ont abandonnés la République comme ses services publics et qui se mobilisent aux côtés des gros bataillons du mouvement ouvrier organisé, n’illustre-t-elle pas l’impérieuse nécessité d’unir le salariat qui représente l’immense majorité des actifs d’un pays comme le nôtre ? Ce soulèvement de classe ne souligne-t-il pas l’erreur commise par la théorie du « populisme de gauche », lorsqu’elle en vient à assigner  au monde du travail un rôle second dans le combat pour transformer la France ? Au final, tout ce qui le met aujourd’hui en ébullition n’atteste-t-il pas que le pays veut se projeter dans un avenir que dessineraient des réformes heureuses, conçues pour le bien-être de toutes et tous, et non pour satisfaire l’âpreté au gain d’une poignée d’actionnaires et de boursicoteurs ?

Pour le dire autrement, c’est la réalité même du moment politique qui dit à la gauche l’inanité d’un discours qui se résumerait à la gestion de la Nouvelle Union populaire écologique et sociale, à moins qu’il ne cherche à en faire un nouveau mouvement sous prétexte de le « démocratiser », pour reprendre une formulation du texte alternatif soumis à la discussion des communistes. Bien sûr, loin de nous l’idée de nier que la coalition des forces de gauche et écologistes, construite pour la campagne des dernières élections législatives, ait eu pour immense mérite d’élargir la représentation de ces dernières au Palais-Bourbon. 

Pour autant, aller à la reconquête de cette large partie du salariat et des catégories populaires révoltées par les incessantes remises en cause de leurs droits fondamentaux, celles qui se dressent actuellement en masse contre la politique du pouvoir mais affichent en même temps une grande méfiance envers la politique, suppose d’aller bien au-delà de la réalité actuelle de la Nupes. L’enjeu se révèle d’autant plus décisif que c’est l’extrême droite qui se nourrit du brouillage présent des perspectives et des consciences, au point de se rapprocher dangereusement du pouvoir, aucune construction bricolée, aucune union réduite aux forces politiques de gauche n’étant de nature à y faire face.

Faire en sorte que la majorité sociale du pays puisse en devenir la majorité politique exige de changer de conception du rassemblement à gauche. Celui-ci, qui est l’ADN même de l’action communiste, retrouvera une force propulsive, il redeviendra crédible si, et seulement si, il porte la réalité des aspirations populaires, en n’en ignorant aucune, qu’il s’agisse de l’avenir du travail, du besoin d’une République protectrice tel que l’expriment les populations les plus fragiles, ou encore de l’indépendance de la nation afin qu’elle fasse entendre au-delà de ses frontières une nouvelle conception, solidaire et coopérative, de l’ordre de l’Europe autant que du monde. Il dépassera les limites qui l’entravent à la condition de nourrir en permanence son unité de l’expérience collective née des mobilisations, et d’imaginer avec le mouvement social une nouvelle relation, faite de coopération et de respect  des spécificités de chacun. Dans le même temps, il lui faudra faire vivre en son sein la diversité des apports de chaque courant. Autant le dire franchement, l’illusion selon laquelle il pourrait se construire durablement sous la domination de l’une de ses composantes est tout simplement mortifère.

Que l’on m’autorise, à ce propos, une remarque. L’intersyndicale, à la tête de la mobilisation actuelle sur les retraites, nous délivre une grande leçon en matière de construction de l’unité. Par la recherche permanente de ce qui permet la plus solide convergence dans l’action, par le respect scrupuleux des points de vue existant à l’intérieur d’une alliance pourtant très diverse, par le refus des injonctions et des polémique stériles lorsqu’il s’agit d’avancer dans l’intérêt de toutes les composantes, elle a su redonner confiance en l’action collective à des millions d’hommes et de femmes, élargir la contestation de la contre-réforme macronienne jusqu’à trouver le consensus de la quasi-totalité de la population active, ouvrir un vaste débat dans l’opinion sur les orientations essentielles de l’action publique. Cela ne devrait-il pas amener la gauche à une réflexion approfondie sur elle-même ? 

Loin du repli solitaire dont certains commentateurs croient parfois bon de nous accuser, comme pour mieux justifier leurs choix partisans, tel est le débat que nous voulons instruire entre partenaires ayant à coeur d’aboutir à une union solide, progressant au rythme de leurs échanges francs et loyaux sur le fond des questions qui les distinguent. Le souci commun devrait alors être d’aller à la reconquête d’une majorité populaire, chacun agissant à partir des propositions qui l’identifient spécifiquement, et concourant de cette manière à une belle confluence pluraliste.

UN PARTI À L’OFFENSIVE ET AU COEUR DE LA GAUCHE   

C’est pour atteindre cet objectif, au service du monde du travail, du peuple, de la gauche et de la France, que nous avons besoin d’un Parti communiste plus fort, mieux implanté, à l’audience renouvelée. C’est sans doute sur ce point que s’est cristallisée le principal désaccord entre les deux projets de texte soumis au vote de cette fin janvier. Historien et ancien dirigeant du PCF, qui soutenait la base alternative écartée par le vote, Frédéric Genevée ne songe d’ailleurs pas à le dissimuler dans une toute récente contribution : « En réalité, ces divers débats sont la déclinaison d’une différence centrale : celle de la conception du parti et de son rapport à la société. »

À le lire, on comprend bien qu’il considère que le texte retenu par 82% des communistes se trouve entaché par une « conception identitaire » et « avant-gardiste ». Toutefois, derrière le souci affiché par lui d’une présence « modeste », il apparaît vite une mésestimation de ce que la réalité nous commande pourtant de prendre en compte : dès lors qu’il s’agit de révolutionner la société, le combat de classe se trouve puissamment renforcé par un parti fondant sa force de conviction du grand nombre sur un corps militant auquel sa pratique exigeante de la démocratie permet de maîtriser collectivement le sens de ses engagements.  

Dans le passé, nous avons pu mesurer les impasses auxquelles conduisaient deux conceptions de l’action politique. Le fonctionnement clanique d’un secteur de la gauche s’est, lorsque ce dernier a accédé aux affaires, d’autant plus écarté des attentes de l’électorat populaire que les adhérentes et adhérents n’avaient nulle voix au chapitre. Quant au concept de « mouvements gazeux », supposément synonyme de modernité en ce nouveau siècle, il s’est à l’épreuve des faits révélé responsable d’une nécrose des tissus militants et de relations opaques au mouvement populaire. L’une et l’autre de ces approches n’ont pas répondu à la question vitale de la traduction politique du combat social. 

Un parti vivant, expérimentant dans ses rangs l’exigence démocratique qu’il met au centre de son projet de société représente, à l’inverse, un puissant levier pour faire émerger une République refondée par les principes associés de souveraineté du peuple et de souveraineté du travail. Citoyens et travailleurs, des deux sexes, de toutes origines et de toutes convictions philosophiques, sont ainsi appelés à juger de la pertinence des programmes en présence à partir de ce qui lie indissolublement les propositions mises en avant et les moyens de les conquérir. Une telle formation, qui entend mettre en oeuvre, avec le grand nombre, des batailles gagnantes pour le droit et la justice, remplit sa mission en étant capable de synthétiser l’expérience de ses membres dans l’action quotidienne, en nourrissant son existence collective de la plus large confrontation de points de vue, en étant pour chacune et chacun un instrument de libération des servitudes imposées par l’ordre dominant. Le texte retenu fin janvier le résume d’une phrase : « Nous entendons bâtir l’organisation qui permettra à des milliers de femmes et d’hommes de retrouver le chemin de la politique, en offrant un cadre fraternel et humain d’action, de réflexion et de formation, où chacun-e construit, grâce au collectif, le chemin de son émancipation. »  

C’est en ce sens que nous nous considérons plus que jamais fondés à interpeller les Françaises et les Français. N’est-il pas avéré que d’immenses avancées ont pu se manifester lorsque le PCF était influent, à l’instar des promesses, réalisées à la Libération, du Conseil national de la Résistance dont nous allons bientôt célébrer le 80° anniversaire ? À l’inverse, n’est-il pas aujourd’hui évident que notre affaiblissement a permis au camp adverse de se lancer à l’assaut de ce qui avait été arraché de haute lutte, au prix souvent du sang versé ? 

N’en déplaise, par conséquent, à celles et ceux qui, sur le théâtre politique et médiatique, ne nous apprécient que marginalisés, nous entendons bien être demain au rendez-vous de l’histoire. S’il ne s’agit nullement d’imaginer l’avenir à l’image de ce qu’était le passé, bien au contraire, le chemin parcouru ces quatre dernières années, l’écho recueilli par la campagne menée autour de Fabien Roussel à l’occasion de la dernière présidentielle, notre présence active dans toutes les mobilisations de la dernière période, le riche renouvellement de notre élaboration programmatique nous autorisent à afficher la volonté d’être une grande force populaire, en prise avec ce qui met notre peuple en mouvement, agissant au coeur de la gauche afin que la reconstruction de cette dernière débouche sur une victoire. C’est ce dont les communistes vont maintenant discuter, l’objectif étant que le texte qui sera définitivement adopté dans quelques semaines, à Marseille, soit le reflet fidèle de ce qu’ils sont et de ce qu’ils veulent.   

Christian_Picquet

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